Stage n°5 de Master Bear 2/2

Je suis dans le train, à mon arrivée, Uran doit m’attendre, Uran est un p’tit chiot à qui j’ai apporté un peu d’aide pour franchir certains caps. Je suis très impatient de lire les consignes de mon Maître.

J’y suis ! St Lazare, Uran est au rendez-vous. On papote, on se raconte nos « p’tits » malheurs et aussi nos grands bonheurs. 30 minutes de métro après, je franchis la porte de l’appart’ de Nicolas.

Sur le frigo, sous un aimant, il y a un papier. Il est écrit dessus : Tu te fous en jock, tu étends le linge, tu fais un peu de rangement. Après ça tu te mets en clebs : collier, dog tail et tu attends ainsi que je rentre. Je bande ! Direct ! Et j’exécute.

A son arrivée je lui fais la fête tel un clebs, je lui donne ma laisse à l’aide de mes dents.

C’est parti pour un moment de dog training, nous prenons un apéro, Nicolas est sur le canapé, moi, à ses pieds, par terre.

Je prépare un repas, Nicolas le sert, une assiette pour lui et ma gamelle pour moi. Je suis ravi. Je commence à vivre de plus en plus mon trip avec Nicolas.

Avant de sortir Nicolas me fait monter sur le lit, j’y grimpe tel un clebs, d’un bond. Il me saute avant de me dire de m’habiller, nous allons faire un tour en boîte…

Le lendemain matin nous préparons nos sacs, jouets et quelques fringues : direction Bourges.

Dju nous emmène en voiture. Le trajet est sage, lors d’une pause pipi, Dju remarque que je pisse debout, il me dit alors : « pas de CB ? Étonnant »… Nous ne trouvons pas d’aire de repos assez calme pour y jouer un peu, Nico avait sûrement une idée derrière la tête en demandant une aire de repos, calme… Font chier ces gens qui partent aussi en week-end ! lol

A notre arrivée chez Master Bear, Jérôme, Christophe, Janjan sont déjà là. Apparemment Christophe a déjà bien ramassé la veille. En plus de Jérôme, Master Bear a fait venir quelques amis.
Nous discutons un peu avec les participants. Nicolas essaie son harnais de corps, cela lui va très bien humm, moi je passe à la salle de bains…

Samuel arrive. D’autres se décommandent, ou « mieux », ils ne donnent pas de nouvelle…  Moi j’attends des news de Dyx. J’ai beaucoup discuté avec lui sur internet avec lui, je l’ai même aidé à trouver son nom de clebs. Ce très beau chiot hésitait à venir, finalement il s’est décidé et libéré, comme quoi quand on veut, on peut ! Certains y verront peut-être « un message », c’est le but…

J’accompagne Janjan pour récupérer Dyx à la gare. A son arrivée Master Bear lui fait visiter les lieux, le met en confiance… Dyx revient du donjon avec un harnais de corps je lui serre les dernières boucles, moi je me mets en tenue : jock, genouillères, Nicolas me met collier en cuir & laisse ainsi que ma dog tail. Je retrouve mes compagnons, Dyx et Christophe, eux aussi équipés d’un collier et/ou laisse.

Ça y est, c’est parti ! Je pète mon câble et je passe en mode clébard. J’invite Dyx du regard à me rejoindre, au sol, à 4pat’. Christophe nous rejoint. Tous les domis, six en tout, jouent avec nous, ils nous lancent la balle, nous nous efforçons de la prendre dans la gueule de celui ayant été le plus rapide pour la récupérer. Après ce bon moment en mode clebs Dyx est conduit sur le sling, visiblement « ma » recrue plaît beaucoup à Master Bear. J’apporte un peu de soutien au beau Dyx. Les autres participants sont partis jouer un peu plus loin…

Le repas est prêt, les domis installent nos gamelles. J’attrape, avec mes dents, les deux laisses de mes congénères et je les fais venir près des gamelles. Deux gamelles, trois clebs. « Problème ». Nos domis nous imposent gamelle commune, une pour la bouffe et l’autre pour boire, nous mangeons donc à tour de rôle.

Les amis de Master Bear venus la veille, reviennent faire un saut. Dans le lot il y a le beau Ben, venu en juillet, il était venu « voir » ce qui se passe dans ce genre de week-end et était reparti quelques heures plus tard… Après avoir entre autre léché mes skets portées par Tytan… Visiblement il en redemande ! lol. Suffisamment gourmand, il finit dans une chambre, entouré de Mehdi, Dju et mon Nico… Il va en prendre pour son grade le beau Ben !

Je prends alors place sur le sling. Samuel prend place et commence à me travailler le cul. Et il m’offre un excellent fist. Lent, précis et très jouissif. Il me semble que Dyx est dans les parages, Master Bear joue avec ;o) puis il vient s’occuper de moi, avec le gros gode noir ! Directement ! Il est vrai qu’après un fist les autres toys auraient peut-être été un peu soft, le jeu avec le bon gros gode noir est vite écourté, vu que je suis encore une fois bien dilaté, Master Bear entreprend à son tour un fist, un peu moins lent mais alors, quelle poigne ! La patte de l’ours a encore « frappé ». Je sens bien sa main, et ce n’est rien de le dire !

Le beau Ben est toujours entrain de prendre cher visiblement, à tour de rôle les actifs viennent prendre des capotes ;o)

Dyx est là, bien sage… Je le fais monter sur le sling et je commence à lui travailler le cul, avec les toys d’abord mais très vite, j’enfile des gants. C’est parti pour une séance de fist. Il se disait endurant, et il l’est ! Il arrive même à encaisser un get puch : avec les poings je rentre et ressort aussitôt, alternant un poing puis l’autre…

Est venue l’heure de se coucher, chacun se débrouille un peu pour trouver sa place, la mienne sera aux côtés de mon Maître et de Dyx. J’en profite pour bien abuser de la situation, mon Maître n’est pas décidé à jouer avec moi, je joue avec Dyx, mon Maître n’est pas contre, alors j’en profite pour me faire sucer, et Dyx suce très bien ;o) Après ces quelques va-et-vient nous nous endormons, paisiblement, près d’un master…

Le lendemain, Master Bear se lève avec une idée, nous dit-il, une idée qui vient de le tirer du sommeil ! Le (Master) Bear veut tisser une toile d’araignée ! Mais que nous raconte-t-il ?

C’est Dyx qui est réquisitionné. Master Bear le bonde, puis l’installe dans un cadre de chaînes. Il ajoute quelques cordages, et voilà, la proie est prise au piège !

Pendant ce temps, Nicolas m’installe une CB, pas très intéressé par ce jouet habituellement, il y prend, là, un malin plaisir à me la poser  ;o)

Une fois l’emplacement libéré, Nico m’équipe de menottes de suspension. Dyx lui est momifié, sur la table… Pendu par les pieds, je sens qu’on me lubrifie le cul, la tête en bas, je ne sais pas trop du coup, qui est autour de mon cul… sûrement Nico. Toujours est-il que l’on est entrain de me fouiller, au passage, je plote quelques Tn qui passent de-ci delà, lèche un pied ou deux, ce sont ceux de Nico, ça, c’est sûr ;o)

Ce passage ne me parait pas si long mais il dure tout de même une bonne dizaine de minute (hihi il y a une vidéo, ça aide pour avoir notion du temps, chose que je perds lorsque je m’abandonne de la sorte). Ce fist est vraiment riche en sensation, un ami m’en avait parlé, je confirme que c’est proprement hallucinant, incomparable à aucune autre position. C’est réellement surprenant, un peu déstabilisant mais procurateur d’un plaisir immense. Merci mon Maître.

J’entends un briquet, aurait-on allumé une bougie ? Au regard des « brûlures » ressenties peu de temps après, je confirme, après un fist relativement éprouvant, je reçois quelques gouttes de cire accompagnées de bons coups de cravache. Malheureusement je ne suis pas à la hauteur et cela ne dure pas très longtemps, la cire de bougie m’a totalement fait redescendre de mon état d’après fist, état d’extase…

Assez vite il faut me redescendre, je ne sens plus mes chevilles et je suis engourdi jusqu’à mi-mollets…

Une fois au sol, Nicolas vient immédiatement me « consoler », comme pour me féliciter, j’ai alors un peu moins de regrets d’avoir dit stop   ;o)

D’autres petits jeux s’organisent, tout le monde s’« occupe »…

Après un repas & une p’tite pause, les jeux reprennent, Nico souhaite me faire réaliser un de mes trips, trip qui le motive aussi. J’ai envie de fister pendant que je suis moi-même fisté… Je commence à travailler le cul de Dyx, mais malheureusement pour moi, il a été beaucoup sollicité et son cul a du mal à encaisser… Mon trip est donc toujours à réaliser… Dyx quémande tout de même un p’tit travail du cul à l’aide de toys, mais rien y fait, il n’en peut plus ! Il veut mais il ne peut plus…

Certains participants doivent repartir, Dyx entre autre :o(

La nuit précédente fut courte, les deux jours relativement intenses, ce soir l’extinction des feux n’est pas tardive… à côté de mon Maître je m’endors, la tête déjà pleine de souvenirs…

Le lendemain Dju et Nico s’occupent de moi, ils me bondent sur la table, libéré de ma cage de chasteté, j’imagine que mes parties ne vont pas être épargnées. Mon intuition est bonne, ils installent l’écrase couilles. En toute logique, ils m’écrasent les couilles. M’offrant là une sacrée séance de CBT, je sens mes couilles réellement compressées. En voyant les photos par la suite, je comprends pourquoi je ressentais cette sensation de compression, l’écrase couilles est presque refermé… Libéré des liens et de l’écrase couilles, je rejoins Nico, il joue avec des pinces à linge… Il m’en accroche une sur les couilles, puis deux, puis trois…Et le voilà parti pour m’en mettre plein le paquet…

En début d’après-midi, Nico souhaite aller faire un tour dehors, et une p’tite vidéo, durant laquelle il me sauterait, intéressé par l’idée Dju nous emmène dans une clairière, je voyage dans le coffre de sa voiture. Les deux me foutent au sol, sortent leur queue, baissent leur froc, me font sucer et me sautent. Finissant en me pissant dessus… Pas de doute je referai le chemin du retour dans le coffre, plein de pisse et en ayant servi de vide burnes.

Les compères Medhi et Ben sont de retour :o)

Lavé, réchauffé et rhabillé je suis à nouveau sollicité, Master Bear avait une idée non exploitée, une séance d’électro le tente. Pas juste une séance où l’on placerait les électrodes sur les tétons ou les testicules… Le (Master) Bear a mijoté un tout autre branchement : le circuit électrique se fera grâce à un spéculum et une sonde urinaire… Euh, euh, là je ne suis pas bien fier, mais je tente l’expérience, installé sur le sling Master Bear m’installe la sonde urinaire, le spéculum, le tout relié à l’appareil électro, les deux autres sorties sont positionnées sur mes tétons… Mis en confiance avec l’activation des électrodes installées sur mes tétons, ils commencent à mettre en marche la sortie spéculum/sonde, rien ne se passe, ils augmentent l’intensité et/ou la fréquence, rien ne semble se passer, jusqu’à ce que je commence à sentir le courant électrique me traverser la verge ainsi que mon muscle anal se contracter et se relâcher. La sensation est très étrange croyez-moi, vicieuse et « fine », tout à l’image de l’idée qu’a eu Master Bear. Cela c’était avant qu’elle ne devienne « violente », là, avec l’intensité et la fréquence augmentées, ce n’est plus mon muscle anal qui est sollicité mais carrément les muscles de mes cuisses. Les domis jouent avec mon corps grâce à deux petites mollettes, ils jouent comme un enfant jouerait avec le boîtier de commande de son train électrique, et moi je souffre, pour leur plaisir, pas bien fier avant de monter sur le sling mais comme à chaque fois, j’ai beaucoup apprécié y être une fois le jeu mis en marche  :o)

Bien installé sur le sling et libéré de l’installation de torture ;o), Dju m’offre un superbe Fist, il complote quelque chose avec Nico…

-       C’est trop ça, quand tu arrives à te branler dans le cul du mec !

Que préparent-ils ? Un me fiste, et parle de branlette, l’autre répond :

-       Je l’ai déjà fait avec Do-It

Réponse : Nico introduit sa bite, pendant que Dju a sa main dans mon cul ! C’est la main de Dju qui branle la queue de Nico ! Et tout cela se passe DANS mon cul ! Dju tentera un double fist, il y parvient presque, mais ses mains sont peut-être elles aussi trop grosses   :o( Mehdi passe par là, il en profite pour me faire sucer sa belle tige, pendant que Dju me travaille le cul… Il me semble que Nico a aussi goûté à la queue de Medhi lol

Voilà 48h de moments bien sympas, il est temps de rentré, malheureusement, toute les bonnes choses ont une fin…

… A très vite pour la suite des aventures
Léchouilles
Do-It

PS : les photos arrivent bientôt, pas d'inquiétude